dialogue silencieux troublé...
Je ne reçois presque jamais de messages, de commentaires et je pensais jusqu'à aujourd'hui, tant mieux. J'ai envie d'écrire pour me souvenir de certains états d'âmes. pour me souvenir essentiellement, et déposer ce qui gêne, qui empêche d'avancer ..
Voilà ce que je reçois ce matin un petit message. Quel trouble ! Quelqu'un s'est il perdu dans la forêt des blogs ? Je lis et grand sourire ! et là, je me suis dit : pour recevoir ce style de commentaires , c'est dommage que je n'en reçoive pas plus souvent. Voici un extrait :
Je voulais partager une citation avec vous, elle n’est pas miraculeuse, mais elle permet de prendre les soucis de manière différente, un chef américain a dit : "Ne demande pas à Dieu d'alléger ta charge mais demande à Dieu de renforcer ton dos", cette citation fait l’éloge de patience, car la vie nous apprend que « les préoccupations de l'existence, les soucis du devoir, les armatures du combat et la poursuite de l'action relèvent des caractères de ceux qui luttent et construisent dans la vie. »(Citation d’un autre auteur, un soufi),
J'ai souri et je me suis dit que certains avaient encore le goût d'apporter , de proposer, de la matière, des pensées afin d'aider l'autre à poursuivre, qu'il existait des personnes, en empathie qui ont encore l'envie d'accompagner, un petit bout de chemin, discrètement. Par ce texte , je dis merci à cet inconnu. J'ai souri et j'ai ressenti un peu de légèreté et des portes de possibles se sont ouvertes .
J'adore les citations ou les contes qui contiennent des phrases clés et qui invitent à poursuivre son chemin alors que l'on est à un carrefour, perdu et franchement inquiet.
J'ai le souvenir du dernier commentaire qui date d'il y a quelques mois, un curieux personnage furieux, grossier, et incompréhensible qui avait cru bon s'arrêter sur un de mes textes et qui s'était autorisé à verser une tonne d'excréments verbaux. J'avoue que là j'ai trouvé bien dommage qu'il s'arrête celui-là !
Merci encore, lecteur inconnu...
Voilà ce que je reçois ce matin un petit message. Quel trouble ! Quelqu'un s'est il perdu dans la forêt des blogs ? Je lis et grand sourire ! et là, je me suis dit : pour recevoir ce style de commentaires , c'est dommage que je n'en reçoive pas plus souvent. Voici un extrait :
Je voulais partager une citation avec vous, elle n’est pas miraculeuse, mais elle permet de prendre les soucis de manière différente, un chef américain a dit : "Ne demande pas à Dieu d'alléger ta charge mais demande à Dieu de renforcer ton dos", cette citation fait l’éloge de patience, car la vie nous apprend que « les préoccupations de l'existence, les soucis du devoir, les armatures du combat et la poursuite de l'action relèvent des caractères de ceux qui luttent et construisent dans la vie. »(Citation d’un autre auteur, un soufi),
J'ai souri et je me suis dit que certains avaient encore le goût d'apporter , de proposer, de la matière, des pensées afin d'aider l'autre à poursuivre, qu'il existait des personnes, en empathie qui ont encore l'envie d'accompagner, un petit bout de chemin, discrètement. Par ce texte , je dis merci à cet inconnu. J'ai souri et j'ai ressenti un peu de légèreté et des portes de possibles se sont ouvertes .
J'adore les citations ou les contes qui contiennent des phrases clés et qui invitent à poursuivre son chemin alors que l'on est à un carrefour, perdu et franchement inquiet.
J'ai le souvenir du dernier commentaire qui date d'il y a quelques mois, un curieux personnage furieux, grossier, et incompréhensible qui avait cru bon s'arrêter sur un de mes textes et qui s'était autorisé à verser une tonne d'excréments verbaux. J'avoue que là j'ai trouvé bien dommage qu'il s'arrête celui-là !
Merci encore, lecteur inconnu...