je me racontais des histoires, je vivais au pays de Candy, où tout est en sucre, la fête et les petites chansonnettes... tout le monde, il est beau tout le monde , il est gentil ! cette après-midi, une rencontre mais voyons tout le monde est sombre aussi...

u n cri sourd profond silencieux , parce qu'intérieur ... ça existe et ça m'arrive dans mes tripes... je le reçois je ne l'envoie pas... je le ressens dans mes entrailles parfois même, quand l'autre , porte le masque du tout va bien j'entends des nots...

aïe aïe aïe , non, non, ce n'est pas l'air d'un nouveau chant mexicain ! c'est les cris de devanture, ou d'aventure qui annoncent un ciel zébré d'éclairs et de tonnerre ou autre chose ! j'ai fait le point pour mon projet de FAC : je l'ai reformulé : non...

l'écoute de l'intime et de l'invisible CERP Amsélek 2006 p 47/48 chapitre les temps du corps, l'étendue soi L'auteur parle de JJRousseau dans les rêveries du promeneur solitaire (5e promenade ) quand il est renvoyé à une "intériorité absolue" voici le...

snif... snif... j'ai tellement envie de changer que j'y ai cru... je ne vois pas le changement ! et non, je ne suis pas devenu un garçon, ça c'est sûr ... rien de nouveau d'agréable... pfffffffffffff .. je ne suis pas dans une chrysalide... ou peut-être......

aujourd'hui, simplement des mots qui m'ont plu ! la force mentale d'une image la puissance imagée d'un mot ! ça vous parle comment ? d'où ?

ce conte burkinabé : la transformation ! Deux adolescents se promènent à l'orée d'un bois habité par des djins maléfiques. Les parents leur avaient interdit formellement de s'en approcher. Mais ce qui est interdit devient ce qui est le plus désirable,...

un ouragan est passé sur le petit papillon... les ailes abimés, il n'est pas mort mais abattu... très innocemment , il y est allé et ouvert, comme une fleur au printemps, il en a pris plein les ailes... l'état pétillant est bien loin, c'est un état terne...

ça pétille dans ma tête et j'entends le fffrrrrrrr des influx nerveux ! pas de court circuit, c'est déjà ça ! juste des fffrrrrrr, fffffrrrroouuuuuuuuuuuuuuu ! je recontacte l'énergie d'avant ... mais avant quoi ? je sens que j'ai en moi une blessure...

ça déménage ce Kasparov ! quand j'écris qui va piano va sano.... c'est trop mou pour lui ! ça tombe bien car c'est pour moi que je le fais ! anectode lue dans son bouquin : ma vie est une partie d'échecs... Un grand maître disait à ses élèves : voici...